Lors de mes conférences, on me demande si mes enfants font des exercices sur cahier. Cela arrive quelques fois par semaine (deux à trois heures). Les enfants choisissent ce qu’ils veulent faire et arrêtent quand ils en ont assez. La position assise à table n’est pas indispensable, le confort des coussins fait l’affaire, la discussion a lieu, la convivialité est présente souvent autour d’un thé… cela ne ressemble pas a une corvée, n’a rien d’obligatoire. Ainsi nous faisons des cahiers comme une activité parmi tant d’autres, sans pression, sans crise… Nous faisons cela sérieusement, avec application, mais sans perdre de vue la qualité de la relation… Dans ces conditions, aucune raison de s’en passer.