A force de parcourir les kilomètres et rencontrer les familles pour parler des enfants, je me prends à la nostalgie de la distance. Je me rends compte que la présence, même imparfaite, même à temps partagé, avec le lot d’erreurs ou de maladresses que cela génère est cent fois préférable à l’absence. Vous souhaitez participer à l’éducation de vos enfants, alors soyez-là! Que pourrait-on faire de moins? Voilà, un petit mot pour mes gars qui me manquent et à qui je pense beaucoup, chemin faisant, modo perigrino… au fil des kilomètres et des jours qui nous rapprochent toujours un peu plus!