La réponse paraît simple: les insuffisances du système parlent d’elles-mêmes, et si on y ajoute les taux de souffrance scolaire, de décrochage, de pénurie des enseignants, de harcèlement, d’insalubrité des établissements, des phobies scolaires… n’en jetez plus!
Mais plus fondamentalement si, comme l’école le prétend, l’enfant est au cœur du système, pourquoi saute-t-il de joie lorsqu’une journée de classe est annulée? Pourquoi a-t-il besoin de re-création trois fois par jour, pourquoi a-t-il besoin de repos, de vacances…? Ne pourrions-nous pas rêver d’une éducation qui n’aurait pas besoin de vacances parce qu’elle respecterait les rythmes, les intérêts, les besoins des enfants? Ne se sentant pas contraint personne n’aurait besoin d’avoir du temps libre, du temps pour soi, il l’aurait à volonté.
N’est-ce pas le moment d’envisager la piraterie éducative et de rejoindre les criques, les havres où se réinventer une vie à sa mesure?
Et pourquoi des psychologues scolaires?
Ca devrait un petit peu poser question quand- même (en général, le psychologue en institution, est là pour accompagner des personnes présumées en souffrance-pertes, deuil…)
Bonjour, depuis la naissance de mes garçons je me suis reprochée des écoles et de leur fonctionnement. Mais plus encore à l’utilité de l’enseignement pratiqué. Mal adapté à notre nouvelle société. Nos mentalités qui ont évolué. Une éducation judeo-chretienne axant sur le négatif et non le positif. Peu gratifiant pour les enfants. Et cette course à la performence. La concurrence. Jeu d’échec abattre et mourir. Plutôt que de prendre le ‘jeu de « AWALE » (partager, aimer, gagner) Cependant l’ école permet l’apprentissage du « vivre ensemble » Penser à une école Autrement. PLUS DE NATURE.